Jhonny Haliday

aucune

posté le 30-04-2008 à 15:37:00

Au rythme du blues

Oui, elle a pris mon cœur et mes vingt ans
La seule fille que j'aimais tant
Et elle est partie de ma vie
En me laissant tout seul dans ma nuit
Depuis, je me donne
Passionnément au rythme et au blues

Je ne sens plus mon chagrin
Quand je rentre au petit matin
Je suis encore tout étourdi
D'avoir dansé toute la nuit
Oh ! oui, je me donne
Passionnément au rythme et au blues

Sous les lumières tamisées
Dès que le blues fait son entrée
Je serre doucement une fille dans mes bras
Mais je n'entends plus sa voix
Dès que je me donne
Passionnément au rythme et au blues

Oh oui, je me donne
Oh oui, je me donne
Oh oui, je me donne
Oh oui, je me donne
Oh oui, je me donne
Passionnément au rythme et au blues

Alors, je deviens un autre
Oui, ça balance et puis ça chauffe, ça chauffe
Celle que j'aime je l'oublie comme un rêve
Elle est loin, bien loin quand la nuit s'achève
Entièrement, alors, je me donne
Passionnément au rythme et au blues

Sous les lumières tamisées
L'amour je l'ai retrouvé
Une fille passionnée
Qui ne vit que pour danser
Depuis je me donne
Entièrement à l'amour et au blues

Oh oui, je me donne
Oh oui, je me donne
Oh oui, je me donne
Oh oui, je me donne
Oh oui, je me donne
Entièrement à l'amour et au blues
 


 
 
posté le 30-04-2008 à 15:35:54

Au pays des aveugles

Le visage contre le mur
Je n'entends plus de murmures
Prends le masque de mes yeux
Je tends l'oreille vers les cieux
Il n'y a personne ici

Où la confusion est née
Le vieillard est couronné
Rien n'alourdit mon esprit
Laisse ma main montrer la vie
Car j'apporte quelque chose

L'étoile de la peur m'étrangle
Et m'entraîne sous la terre
Jusqu'au pays des aveugles
Dans le feu je brûle entier
Malgré mon besoin de vie
Prisonnier de mon esprit

Le visage contre le mur
Ecrasé par la torture
Une larme silencieuse
Quand la vie est en veilleuse
Ne plus rien changer du tout

L'étoile de la peur m'étrangle
Et m'entraîne sous la terre
Jusqu'au pays des aveugles
Dans le feu je brûle entier
Malgré mon besoin de vie
Prisonnier de mon esprit

Le visage contre le mur
La poussière sur mes chaussures
Mon testament est fini
Je n'ai rien à faire ici
La réalité s'éveille

Le visage contre le mur
Quand profonde est la blessure
Quand pas une feuille ne bouge
Quand le poignard devient rouge
Il faut tourner cette page
Il faut tourner cette page

Le visage contre le mur
Le visage contre le mur
Jusqu'au pays des aveugles
Jusqu'au pays des aveugles
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posté le 30-04-2008 à 15:34:53

Au nord des îles de Shetland


Je laisserai ma barbe et mes cheveux
Pousser comme ça peut, comme ça veut
J'vivrai nu comme un ver à soie
Et je mangerai avec les doigts
Au nord des îles de Shetland
Dans une maison sur Mainland
Ah oui
Mais j'oublierai

Et dans une pipe en écume de mer
Je fumerai du tabac amer
Et je me perdrai dans les brumes
Comme un marin dans la bière brune
Au nord des îles de Shetland
Dans une maison sur Mainland
Hum
Mais j'oublierai

Et comme les rats quittent le bateau
Il faut parfois se foutre à l'eau
Et sur mon radeau de fumée
Comme les planètes j'irai sombrer
Au nord des îles de Shetland
Dans une maison sur Mainland
Mais j'oublierai

Hum
Comme un homme, un homme à la mer
De vague en vague je perdrai terre
Comme un chagrin de larme en larme
Je me noierai, je perdrai l'âme
Au nord des îles de Shetland
Dans une maison sur Mainland
Mais je t'oublierai

Mais je t'oublierai
Mais je t'oublierai
 


 
 
posté le 30-04-2008 à 15:32:54

Au jour le jour

Tu t' jettes à pile ou face
Tu mets l'impair et passe
T'es bourré d'ambitions

Tu prends pas d'assurances
Tu donnes ta confiance
En fait y a pas de raisons

Petit tu prends de la graine
T'attends pas que ça vienne
Tu veux pas mourir con

Y a plein de marchands qui passent
Des vendeurs de passe-passe
Qui t'envoient l'addition

Arrivé à l'âge des Julies
Tu dis non pour dire oui
T'es dev'nu grand garçon

Dans ton cœur en marmelade
Plus t'aime plus t'es malade
Mais tu trouves ça si bon

&Agrave; trop prendre les coups on les oublie
Ouais

Au jour le jour
Au jour le jour
Au jour le jour
Au jour le jour
Mes illusions je les vis
J'ai trop payé pour savoir
J'suis à crédit
J'perds mes chansons pour cause d'oubli

J'voulais livrer bataille
J'brûle les fétus de paille
Mes amours au charbon

T'as des odeurs en mai
Qui font l'meilleur effet
Le soir sur ton balcon

Mais le matin ça s'arrête
C'est comme les jours de fête
T'as la tête dans le béton

&Agrave; trop prendre les coups on les oublie
Ouais

Au jour le jour
Au jour le jour
Au jour le jour
Au jour le jour
Mes illusions je les vis
On des dix mille
Des millions d'incompris
C'est rien qu'au jour le jour qu'on vit

&Agrave; trop prendre les coups on les oublie
Ouais

Au jour le jour
Au jour le jour
Au jour le jour
Au jour le jour
Mes illusions je les vis
On dix mille
Des millions d'incompris
C'est rien qu'au jour le jour qu'on vit

Au jour le jour
Au jour le jour
Au jour le jour
Au jour le jour
Mes illusions je les vis
On dix mille
Des millions d'incompris
C'est rien qu'au jour le jour qu'on vit...
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posté le 30-04-2008 à 15:32:09

Au bord des routes

On les reconnaît à leurs yeux,
On y voit tout dedans.
Et même quand ils sont baissés,
On y voit tout dedans.
Vous ne vous tromperez jamais,
Vous les reconnaîtrez,
Ceux qu'ont les yeux baissés.
Les yeux tristes à pleurer.
Des chiens laissés tomber,
Au bord des routes.
Ceux qui gênent d'un seul coup,
Ceux qui n'ont rien demandé

Eux, ils sont bien comme moi,
Qui ai connu le chaud,
Qui ai connu le froid.
Eux, ils savent bien ce que c'est
Celui qui attend seul,
Celui qui ne comprend pas,
Pourquoi d'un coup, d'un seul,
On le laisse planté là.

Et vous, vous connaissez mes yeux,
Vous voyez tout dedans.
Et même quand ils sont baissés,
Vous voyez tout dedans.
Mais vous ne la verrez jamais
Celle qui, la vitre baissée
M'a laissé en été,
Sur le bord des chaussées,
Comme un chien sur les routes
Laissé tomber
Un chien qui devient fou,
Qui la suivrait partout.

Vous, vous êtes bien comme moi
Qui ai connu le chaud,
Qui ai connu le froid.
Vous, vous savez ce que c'est
Celui qui attend seul,
Celui qui ne comprend pas,
Pourquoi d'un coup, d'un seul,
Elle m'a laissé comme ça.

Elle m'a laissé comme ça.

Vous avez vu mes yeux ?
Les yeux d'un chien errant.
Vous avez vu mes yeux ?
Vous voyez tout dedans.
Même quand ils sont baissés,
Vous la verrez dedans.
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